10 erreurs massage cardiaque

10 erreurs massage cardiaque

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N'ayez plus peur

10 erreurs à éviter lors d'un arrêt cardiaque

🚨 Face à un arrêt cardiaque, chaque seconde compte… et chaque geste aussi !

On veut tous bien faire, mais dans l’urgence, certaines erreurs peuvent retarder l’intervention efficace — voire la rendre dangereuse.

Avant de plonger dans l’action, prenons un instant pour découvrir les 10 erreurs les plus fréquentes à éviter lorsqu’une vie est en jeu.

Un peu de prévention, beaucoup de bons réflexes… et peut-être une vie sauvée 💓

Erreur n° 1 – Penser que c’est compliqué de sauver une vie

Beaucoup de gens hésitent à agir lors d’un arrêt cardiaque, persuadés qu’ils ne sont pas à la hauteur.

Vous ne pouvez pas faire pire que rien faire.

Faites vous confiance, et le SAMU au téléphone pourra téléguider vos gestes au besoin.

Pourtant, les gestes qui sauvent sont simples : alerter, masser et défibriller si possible. Ce sont ces actions rapides qui font toute la différence. Chaque seconde compte, et vous pouvez faire la différence !

Erreur n°2 – Attendre les secours avant de commencer un massage cardiaque

Chaque minute compte lors d’un arrêt cardiaque, et attendre les secours peut être fatal, surtout pour son cerveau. Le massage cardiaque doit commencer le plus tôt possible, pour maintenir la circulation sanguine et surtout réoxygéner le cerveau.

Agir vite, même sans défibrillateur, sauve des vies. Alors, n’attendez pas : commencez dès maintenant ! MASSEZ pour maintenir l’oxygénation de son cerveau et limitez les séquelles sur cerveau.

Et en cas de doute, masser.

Erreur n°3 – Prendre un pouls pour valider que la personne est en arrêt cardiaque

En cas de doute, il ne faut pas perdre de temps à chercher un pouls. Prendre un pouls est réservé aux équipes entrainées : pompiers, ambulanciers, équipage SMUR…

Cela retarde inutilement les gestes qui sauvent. L’absence de réaction ( une personne inconsciente)  et de respiration suffit à déclencher immédiatement un massage cardiaque.

Mieux vaut agir que d’hésiter : chaque seconde compte !

Erreur n°4 – Masser plus vite en pensant que ça marchera mieux

Un massage cardiaque trop rapide est inefficace : il ne laisse pas le cœur se remplir correctement. Le sang n’a pas le temps de monter jusqu’au cerveau pour y apporter l’oxygène dont il a besoin pour limiter les séquelles.

La fréquence recommandée est de 100 à 120 compressions par minute, ni plus, ni moins.

Placez vos mains au milieu du sternum , et appuyez de 5 à 6 cm

Restez régulier et profond pour optimiser vos chances de sauver une vie.

Erreur n°5 – Penser que le massage cardiaque relance le cœur

Le massage cardiaque ne redémarre pas le cœur : il remplace sa fonction en maintenant la circulation sanguine y comprit au cerveau et au cœur lui même.  Tout va dépendre de la cause d’un arrêt cardiaque. S’il s’agit d’une strangulation, le simple fait d’enlever ses mains , fera que l’arrêt cardiaque sera plus facilement réversible.

Il garde le cerveau et les organes irrigués. Sans massage, les chances de survie chutent vite.

Erreur n°6 – Privilégier la cherche du défibrillateur au détriment du massage cardiaque

S’arrêter pour chercher un défibrillateur retarde l’oxygénation du cerveau. Pas de massage, pas d’oxygène qui monte au cerveau. Ne posez le défibrillateur si vous êtes seul, uniquement si il est à porté de vue.

Le massage cardiaque doit être commencé immédiatement et poursuivi sans interruption. Si un défibrillateur est disponible, une autre personne peut aller le chercher, mais jamais au détriment du massage !

Erreur n°7 – Se forcer à réaliser du bouche à bouche si cela nous écœure 

Le bouche-à-bouche n’est pas obligatoire pour aider efficacement une personne en arrêt cardiaque. Le massage cardiaque seul est déjà efficace pour maintenir la circulation sanguine. Lorsque la poitrine est comprimée lors du massage cardiaque, les poumons aussi sont écrasé et réalise un échange d’air.

Si le bouche-à-bouche vous gêne, concentrez-vous sur le massage : c’est l’action la plus vitale !

Erreur n°8 – Arrêter le massage cardiaque si on casse une côte.

Lors d’un massage cardiaque efficace, il arrive souvent de casser une côte — cela peut arriver et n’empêche en rien la personne de ressusciter ! Il vaut mieux casser une côte que de ne rien faire. Et entre nous, une personne âgée aura un sternum bien moins flexible qu’un adulte de 25 ans, ce qui risque de majorer le risque de fracture de côte.

Il faut continuer le massage sans hésiter pour donner toutes les chances de survie à la personne.

Erreur n°9 – S’arrêter parce que cela nous fatigue

Le massage cardiaque demande de l’effort, mais chaque seconde compte. Si vous êtes fatigué, demandez à quelqu’un de prendre le relais, mais ne vous arrêtez jamais sans avoir trouvé un remplaçant. Votre corps sécrétera de l’adrénaline sous l’effet du stress qui vous aidera à tenir. 

L’interruption du massage compromet les chances de survie ! Ne relâchez pas votre effort une vie est en jeux et vous êtes son seul espoir s’en sortir.

Erreur n°10 – Ne coller qu’une seule électrode du défibrillateur, chez un enfant.

Pour que le défibrillateur fonctionne correctement, il faut toujours appliquer les deux électrodes, même chez un enfant. Avec une seule électrode, l’analyse est erronée.

Une seule électrode ne permet pas de délivrer le choc nécessaire, car le courant doit passer au travers du cœur.

Respectez bien la position indiquée avec le dessin sur les électrodes pour maximiser les chances de succès.

🚨 En cas d’arrêt cardiaque, chaque geste compte et peut sauver une vie. Éviter ces 10 erreurs courantes permet d’agir rapidement et efficacement, sans hésitation ni perte de temps. Rappelez-vous que le massage cardiaque est simple mais vital, qu’il faut privilégier l’action immédiate et continuer jusqu’à l’arrivée des secours. Avec les bonnes réactions, nous pouvons tous devenir des maillons essentiels dans la chaîne du secours. 💓

Pour conclure, vous êtes son seul espoir et le pouvoir de le sauver réside dans vos mains.

Soyez un héro du quotidien et n’ayez plus peur, vous ne pouvez pas faire pire que rien…

 

Récit d’une intervention en urgence.

Récit d’une intervention en urgence.

Réanimation domicile

La réanimation à domicile en urgence ! 

Cela fait déjà quelques années que j’use mes pantalons comme infirmière aux urgences et dans une unité du Service Médical d’Urgence et de Réanimation ( SMUR).

Partir en intervention en équipe (SMUR) n’est pas comparable avec le travail d’infirmière aux urgences.

Pourquoi allez vous me dire ? Parce que c’est l’hôpital qui se déplace à domicile avec son personnel.

C’est ‘’nous’’ l’équipage, qui entrons dans la vie des personnes en détresse vitale.

A l’hôpital, c’est le patient qui rentre dans notre monde de soignant, avec ses contraintes et ses locaux. Nous sommes dans un lieu plutôt aseptisé.

Revenons aux SMUR. Lorsque l’alerte sonne, c’est une véritable aventure qui s’annonce et nous n’avons aucune idée de ce qu’il va se passer sur notre intervention.

C’est la régulation du centre 15 qui déclenche cette alerte car une personne est en détresse et son état l’intervention d’un médecin de toute urgence.

Une journée d’infirmière en SMUR est une journée que personne ne peut prévoir : avec ses joies, ses grands moments de solitudes, mais malheureusement aussi toute la tristesse qui peut en découler.

 

80% des arrêts cardiaques se font  à domicile, il faut partir en urgence !

 

L’urgence a sonné et en même temps, une feuille est imprimée dans les locaux du Smur pour nous indiquer le motif de l’intervention, le lieu et l’équipage qui part sur cette intervention.

Oulala un arrêt cardiaque, c’est grave ! Une fois l’équipage réuni, notre ambulancier nous guide vers le lieu de l’intervention.

Heureusement qu’on les a ! “Nos ambulanciers” ont un diplôme de soignants et passe encore une formation pour venir travailler dans un SMUR.

Rouler vite et bien, nous permet d’arriver au plus rapide sur l’intervention et en vie.

C’est parti ! Durant le trajet, le médecin nous donne les informations que le centre 15 dit SAMU a réussi à obtenir.

Le patient est une homme  de 82 ans qui a fait un arrêt cardiaque en allant au toilettes, sa femme sur place a été chercher le voisin qui a commencé un massage cardiaque

Il y a une sorte de danse organisée lorsqu’on arrive en SMUR, nous n’avons pas besoin de nous parler pour savoir ce que chaque membre de l’équipage doit faire : 

  • L’ambulancier nous aide à préparer et poser le matériel : perfusion et scope (l’appareil qui permets de connaître l’activité électrique du cœur) 
  • Le médecin doit comprendre le contexte : est ce que le patient a été massé tout de suite, si la femme a vu tomber son mari ou l’a telle découvert le matin en se levant ? le patient prenait-il un traitement ? souffrait-il d’autres pathologies ?
  • Et moi l’infirmière qui pose ce que l’ambulancier nous a préparé : perfusion et adrénaline, et le scope

La réanimation est en route, les pompiers sont déjà sur place pour que l’équipe soit la plus efficace.

Les pompiers sont avertis en même temps que nous sur l’intervention.

Ils arrivent quasi toujours avant nous et commencent ou prennent le relais pour le massage cardiaque et la ventilation avec de l’oxygène et enfin pose le défibrillateur.

 

Faire repartir le cœur.

 

La symbiose de l’équipe commence, tout le monde travaille pour faire repartir le cœur de ce patient de 82 ans.

Souvent durant ces moments nous sommes focus sur le patient, afin de faire notre métier, mais parfois le contexte vous heurte dans vos pratiques.

Nous continuons la réanimation et c’est le médecin qui prend la décision d’arrêter le massage cardiaque.

Ce jour-là, le cœur n’est pas réparti malgré nos 45 minutes de travail acharné.

 

Ce jour là, malheureusement, notre intervention n’a pas suffit.

 

Et après que faisons nous ? Le médecin explique à la famille que le cœur était fatigué et que malgré nos efforts il n’est pas reparti.

Ensuite, nous demandons à la famille, ce que nous faisons du corps. Aussi incroyable que cela puisse paraître, nous n’avons pas le droit de transporter un corps.

Nous laissons le monsieur, devenu défunt, dans un lit.

Nous essayons de le rendre le plus présentable possible, nous lui enfilons un vêtement décent , nous lui remettons les cheveux dans le bon sens, et l’installons dans un lit, car souvent à notre arrivée la victime gît sur le sol. 

Ensuite, nous expliquons les démarches à la famille, qui appeler, quand, comment ça se passe après ?

C’est souvent dans ces moments-là, qu’on se dit que la journée sera terrible pour certains car une vie s’en va.

Et nous, ensuite on repart, dans le véhicule nous faisons le point sur notre intervention.

Une fois rentrés à l’hôpital, nous remettons dans le véhicule le matériel que nous avons utilisé. 

Et voila nous sommes de nouveau prêts pour repartir à l’aventure jusqu’au prochain déclenchement de notre bip.

Message d’alerte au secours

Message d’alerte au secours

Que dire lorsque j’appelle les secours ?

Guider les secours jusqu’au lieu de l’incident est essentiel dans les situations d’urgence, notamment en cas d’accident, de malaise ou d’arrêt cardiaque. Il n’est jamais facile d’appeller les secours, mais il est primordial de ne pas se faire déborder par le stress.

Voici quelques raisons importantes pour lesquelles il est crucial de fournir des indications précises aux secours.

tel secours

Quoi dire dans mon message d’alerte  ?

1. Qui suis je ?

Fournissez votre nom, numéro de téléphone, pour que les secours puissent vous contacter si besoin. Cela peut être important si les secours ont besoins d’informations  supplémentaires ou pour la coordination des secours sur place.

2. Qui cela concerne ?

Donnez le nom, prénom, âge et sexe de la personne face à vous. Si vous ne connaissez pas la personne, estimez à vue de nez l’âge et le sexe de la personne. 

3. L'adresse où vous êtes

Fournissez l’adresse complète de l’incident avec des indications claires pour permettre aux secours de localiser rapidement le lieu. Mentionnez des points de repère ou des détails spécifiques si nécessaire. Donnez les codes d’entré des batiments, le nom sur la boîte aux lettres.

4- Décrivez la situation

Décrivez succinctement l’état de la ou des personnes. Ces détails aident les secours à évaluer la gravité de la situation. Il ne faut pas extrapoler. Décrivez ce que vous voyez sans interprétation.

5. Les gestes déjà faits

Si vous avez déjà commencé des gestes de secours, comme la réanimation cardio-pulmonaire (RCP) ou l’utilisation d’un défibrillateur automatique externe (DAE), informez en les secours. Ainsi ils peuvent vous guider dans vos gestes.

6- Suivez les consignes du SAMU

Écoutez attentivement les questions des services d’urgence et répondez-leur de manière concise. Suivez leurs consignes pour maximiser l’efficacité de l’intervention.

7- Restez calme

Essayez de rester calme et clair dans vos communications. Cela facilite la compréhension de la situation et contribue à une réponse plus efficace des services d’urgence.

Qui dois je appeler ?

numero urgences

Pourquoi dois je donner un message precis ?

Vos indications précises peuvent faire une différence significative dans la prise en charge rapide et appropriée des victimes.

Gain de temps critique :

Lors d’une situation d’urgence, chaque minute compte. En guidant les secours vers le lieu exact de l’incident, vous contribuez à réduire le temps d’intervention. Cela peut être crucial pour les victimes, surtout en cas d’arrêt cardiaque où des actions rapides peuvent significativement augmenter les chances de survie.

Localisation précise

Dans des zones complexes ou peu familières, les secours peuvent avoir du mal à trouver l’endroit précis de l’incident. Vos indications permettent d’éviter des retards inutiles et garantissent que les secours atteignent rapidement la victime.

Optimisation des secours

 En guidant les secours, vous contribuez à l’efficacité de leur intervention. Ils peuvent mieux planifier leurs actions, mobiliser les ressources nécessaires, et prendre des décisions éclairées en fonction de la situation sur place.

Coordination des secours

En expliquant aux services des services d’urgence, vous contribuez à une coordination plus efficace de la réponse. Cela permet aux secours de prendre des décisions informées et de mettre en œuvre les moyens nécessaires de manière plus efficace à votre problème.

Que faire en cas d’arrêt cardiaque ?

Que faire en cas d’arrêt cardiaque ?

Que faire, si une personne s’effondre devant moi ?

En cas d’arrêt cardiaque, il est crucial d’agir rapidement pour augmenter les chances de survie de la personne en détresse.

En France, le taux de survie reste encore trop bas, environ 8% des personnes en arret cardiaque survive. Cela reste bien peu si on compare aux pays comme les Etats Unis où le taux de survie est de 20 à 30 %.

Pour progresser, voici comment agir en cas d’arret cardiaque, car il n’y a de plus belle chose que d’agir pour sauver une vie, encore plus quand il s’agit d’un membre de sa famille. Découvrez nos autres statistiques sur l’arrêt cardiaque.

 

Icone recyclage

Une règle simple à appliquer face à toute personne en arrêt cardiaque

P comme protection

 

Assurez vous que l’environnement est sûr pour vous et la personne fasse à vous. Vérifiez s’il y a des dangers potentiels, comme la circulation, de l’électricité avant de vous approcher de la personne en détresse.

Il serait dommage d’avoir un suraccident alors que vous essayez de porter secours.

A comme alerter

 

Appeler les secours : Composez immédiatement le numéro d’urgence :

  • 15 pour une urgence médicale
  • 18 pour une urgence
  • 112 pour

=>Prevenir efficacement pour obtenir la réponse la plus adaptée à votre urgences. Indiquez clairement votre problème surtout si s’agit d’un arrêt cardiaque.

S comme secourir

 

Une fois que vous avez appelé les secours, suivez ces étapes pour secourir la personne en arrêt cardiaque, même si vous avez un doute, il faut agir les chances de survit de la personne vont grandement dépendre de vos actions

Par quoi commencer, si je découvre quelqu’un par terre !

Conscient ou inconscient ?

1 – Appeler la personne

 

D’une voix forte et claire, appelez la personne en utilisant des termes simples comme « Madame » ou « Monsieur ». Par exemple, dites « Monsieur, est-ce que ça va ? »

Vous pouvez aussi demander à la personne de vous serrez les mains, d’ouvrir les yeux, enfin de faire un geste que vous lui avez demandé.

Vous pouvez aussi l’appeler par son prénom, on réagit mieux quand on nous appelle par notre prénom.

2 – Evaluer la réponse de la personne

 

Observez attentivement la réaction de la personne.

 

  • Aucune réponse : Si la personne ne réagit pas du tout, elle est INCONSCIENTE.

En résumé, pour vérifier l’état de conscience d’une personne, essayez de l’appeler, observez sa réaction, et évaluez si elle est consciente ou non. Cette évaluation rapide est cruciale pour déterminer les étapes suivantes dans la gestion des situations d’urgence.

La personne respire ou pas ?

3 – Observez le torse

 

Une respiration d’observe directement avec son regard. Il n’y a pas besoin de  s’inclinez dessus pour valider que la personne respire.

Une respiration est un torse qui se soulève au moins une seconde.

4 – Vous avez un doute sur la respiration ?

 

Prévenez la personne et placez votre main sur le thorax de la personne si vous sentez le thorax se soulever efficacement

=> Il respire

Si vous avez un doute, considérez que la personne ne respire pas

Inconscient et ne respire pas = Arrêt cardiaque  

1 – Alerter

 

Vous devez immédiatement appeler les secours (composez le numéro d’urgence 15 ou 18) et commencer le massage cardiaque.

Plus vous appelez tôt, plus vite les secours arriveront. SI vous ne commencez rien, les secours ne pourront jamais récupérer cette période d’inaction.

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2- Réaliser des compressions thoraciques

Il Faut AGIR…. que peut ‘il se passer de pire !

  • Placez le talon d’une main au milieu de la poitrine (juste en dessous de la ligne des mamelons).
  • Utilisez l’autre main pour comprimer la poitrine d’au moins 5 cm (environ 2 pouces) à un rythme d’environ 100-120 compressions par minute.
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3- Placez votre défibrillateur

Si un défibrillateur automatique externe (DAE) est disponible, utilisez-le immédiatement. Suivez les instructions du DAE. Si vous ne savez pas quel défibrillateur acheter, voici quelques conseils pour l’équipement d’un défibrillateur.

Si vous n’avez pas de DAE à proximité, poursuivez le massage, et envoyez un temoin vous en chercher 1.

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Et maintenant je fais quoi ?

4 – Continuez le massage cardiaque

Le massage cardiaque maintient l’oxygénation du cerveau. Cela est crucial car le sang transporte l’oxygène nécessaire aux organes vitaux, en particulier au cerveau. Il faut interrompre le moins possible le massage cardiaque.

5 – Ecoutez les consignes du défibrillateur

Les DAE sont conçus pour être utilisés avant l’arrivée des secours médicaux. En suivant les consignes du DAE, vous augmentez les chances de survie de la personne en arrêt cardiaque en permettant une intervention rapide et appropriée.

6 – Guidez les secours pour qu’il vous retrouve

Lors d’une situation d’urgence, chaque minute compte. En guidant les secours vers le lieu exact de l’incident, vous contribuez à réduire le temps d’intervention. Alors envoyer un témoin dehors pour accueillir les secours.

En résumé, en cas d’arrêt cardiaque, appelez les secours, utilisez un DAE si disponible, et commencez le massage cardiaque. Il est important de maintenir le rythme des compressions et de continuer les continuer jusqu’à ce que des professionnels de la santé prennent le relais.

N’oubliez pas que chaque seconde compte, et une intervention rapide peut sauver des vies. Et on ne le répètera jamais assez qu’il est important de se former.